Cala Pira

ce n'est pas un volcan, un peu le sud de la corse?

Nous sommes repartis ce matin Dimanche après avoir confié Anne et André à un taxi direction la gare puis Olbia. Etape tranquille de six heures, avec l'aide des voiles et du moteur, nous arrivons sans encombre à Cala Pira qui est un fort joli mouillage abrité sauf de sud (ça tombe bien pour nous). Mouillage dans 5m de sable, et Sous le Vent étrenne la main de fer achetée à Cagliari. Nous avons vus deux jolis dauphins à peu de distance.

Revenons sur Cagliari, au fond de son immense baie, qui est une ville bien attachante :

Trois marinas se partagent quelques recoins du port, immense. La nôtre (celle de Bud Spencer) est basique, économique, mais a le charme de ses pontons en vielles planches rapiécées, et offre le service d'une location à l'heure de petites Fiat, qui si elles ne sont pas dans un état merveilleux, rendent quand même de grands services.

A propos de services, une supérette située à un petit kilomètre livre à bord. Un peu plus loin une 'Enoteca' permet de déguster quelques flacons excellents.

Enfin le marché (sur deux étages) regroupe tous les poissonniers, bouchers, maraîchers de la ville, mais est justement à 5km de voiture du port !

Lundi, réveil au dessus de 5m d'eau limpide, l'ancre est sagement posée sur le fond sous Limoncello, il faut dire que hier après-midi, il y avait un fort thermique, mais pendant la nuit, Limoncello est revenue toute seule flotter au dessus de l'ancre.

L'eau est tiède, pas de méduses, depuis 7h un tracteur enlève les algues et les baigneurs commencent à arriver. Sur Senan d'Arkal, les premiers signes de réveil sont perceptibles, Pascal remonte l'annexe, le départ est pour 9h !